Public Security Administration. Foreign Police Department. Individual files opened between 1835 and 1912 (no. 1 - 999.999.999).
http://lod.ehri-project-test.eu/units/be-002125-be_a0510_1539 an entity of type: Record
Public Security Administration. Foreign Police Department. Individual files opened between 1835 and 1912 (no. 1 - 999.999.999).
Administration de la Sûreté Publique. Service de la Police des Étrangers. Dossiers individuels ouverts entre 1835 et 1912 (nos 1 – 999.999).
Administration de la Sûreté Publique. Service de la Police des Étrangers. Dossiers individuels ouverts entre 1835 et 1912 (nos 1 – 999.999).)
Ministerie van Justitie. Bestuur Openbare Veiligheid. Dienst Vreemdelingenpolitie. Individuele dossiers geopend tussen 1835 en 1912 (dossiers nrs. 1-999.999)Inventaris van de gedeporteerden via Kazerne Dossin (WO II) (deel 1)
Public Security Administration. Foreign Police Department. Individual files opened between 1835 and 1912 (no. 1 - 999.999.999).
Administration de la Sûreté Publique. Service de la Police des Étrangers. Dossiers individuels ouverts entre 1835 et 1912 (nos 1 – 999.999).
Administration de la Sûreté Publique. Service de la Police des Étrangers. Dossiers individuels ouverts entre 1835 et 1912 (nos 1 – 999.999).)
Ministerie van Justitie. Bestuur Openbare Veiligheid. Dienst Vreemdelingenpolitie. Individuele dossiers geopend tussen 1835 en 1912 (dossiers nrs. 1-999.999)Inventaris van de gedeporteerden via Kazerne Dossin (WO II) (deel 1)
1031 m.l.
1031 linear metres
La Police des Étrangers ouvrait un dossier individuel pour chaque étranger entrant sur le territoire. Les dossiers sont numérotés selon l’ordre qui leur fut attribué au moment de leur ouverture. Ces dossiers se composaient généralement comme suit : une déclaration d’inscription dans une commune, mentionnant la situation familiale, professionnelle et la période durant laquelle l’étranger souhaitait rester en Belgique ; les déménagements et changement de résidence ; les actes de l’État civil, dont des actes de mariages, de naissances et de décès ; on trouve peu de photographies au 19e siècle sauf pour les dossiers d’étrangers dits « dangereux » ; enfin, la page de garde du dossier renvoie vers les noms, prénoms et numéros de dossiers de proches et membres de la famille de la personne concernée. Les étrangers actifs en politiques sont minoritaires, néanmoins, la taille de leurs dossiers est inversement proportionnelle à leur nombre, ceux-ci sont très riches, on notera des personnalités de renom, comme Karl Marx ou Victor Hugo. La clôture d’un dossier se fait après décès de l’étranger en Belgique, après son départ volontaire ou son expulsion. Ces dossiers furent conservés de manière fragmentaire. Nombreux dossiers d’étrangers en transit ou séjournant peu de temps dans le Royaume furent détruits. La Sûreté publique préféra conserver les dossiers servant à documenter la jurisprudence et ses compétences légales. Pour combler ces lacunes, le chercheur se réfèrera aux dossiers d’étrangers conservés dans les archives des villes et communes, notamment à Bruxelles et Anvers.
The Foreign Police opened an individual file on each foreigner who entered the country. The files are numbered in the order assigned to them when they were first opened. These files generally consisted of: a declaration of registration in a municipality, references to the family and professional situation and the period during which the foreigner wished to remain in Belgium; relocations and changes of residence; civil status records, including marriage, birth and death certificates; the files dating back to the 19th century contain few photos except for the files of so-called"dangerou" foreigners; finally, the cover page of the file refers to the family names, first names and file numbers of close associates and family members of the person concerned. Although foreigners active in politics were in the minority, the size of their files is inversely proportional to their number – these are very rich – and include renowned personalities, such as Karl Marx or Victor Hugo. A file was closed after the foreigner's death in Belgium, voluntary departure or expulsion. These files were kept in a piecemeal fashion. Many files of foreigners in transit or staying for a short time in the kingdom were destroyed. The Public Security Administration preferred to keep the files that could be used to document case law and its legal expertise. To fill these gaps, the researcher should refer to the files of foreigners kept in the archives of cities and municipalities, particularly in Brussels and Antwerp.